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Pas tant que ça en fait, ça marche statistiquement, sinon le principe serait abandonné depuis longtemps, or il existe depuis des siècles. C'est ce qu'on appelle des Lettres de Jérusalem. Le principe du loto à l'envers en somme.
Philip Jose Farmer : "Adon fils de l'antique Hoppar".
Ca se déroule en Afrique du Nord, Egypte, Syrie si je me souviens bien.
Peut-être également la peur de se voir rattrapé par sa création et dépassé par la base, laquelle encenserait une oeuvre sans l'avoir vraiment comprise. Une sorte de syndrome Moorcock-Elric.
Ceci répond donc à la question.
C'est d'ailleurs un excellent moyen de vérifier le type de relation entretenue.
Tu as déjà participé ou même assisté à des tournois de Diplo ?
Sans compter que ce jeu est un excellent moyen de se fâcher durablement avec des gens.
Des gens qui sautent en l'air, se racontent leur vie, échangent deux ou trois politesses, accessoirement quelques taloches et retombent sur leurs pieds avant de repartir sous d'autres cieux. A côté Spiderman fait figure de paraplégique asthmatique. C'est horripilant selon moi, et bien souvent ce n'est que le cache misère d'un scénario étique digne de Besson. Et encore, les bonnes années. Bref un genre à fuir.
Ceci dit il est vrai que "Hero" est plutôt intéressant comme film, indépendamment de ce que je reproche au genre.
Faut aimer le genre "opéra de Pékin" quand même. C'est d'ailleurs ce qui me déplaît dans le cinéma chinois. Question de formation, sans doute, je préfère nettement le film de sabre nippon.
Pour info :
énergie cinétique développée par un lanceur de paint ball (en France ) : 5-10(max) joules.
énergie cinétque développée par un lanceur d'airsoft (en France toujours) : 2 joules maximum.
Et ce n'est pas moi qui le dit, c'est la loi française. Laquelle loi interdit aux mineurs français l'airsoft en dehors des lanceurs limités à 0.07 j mais les autorise à jouer au paint ball avec des lanceurs sans autre limite de puissance que les adultes, ou qualifiés tels.
L'épée que fabrique Richard dans le Temple est une simple copie à l'identique, soit, mais uniquement sur le plan matériel. Autrement dit elle ne dispose d'aucune des capacités de l'originale pour la réalisation de laquelle nombre de sorciers ont donné leur vie.
C'est sûr qu'à voir les têtes de vainqueur du trio on sent que le salut du monde prend un tour des plus inattendu. Cela dit chapeau pour le casting, Richard a bel et bien la tête à claques que j'imaginais. Dommage que Di Caprio ne soit trop vieux, l'effet n'en aurait été que plus saisissant.
Production fleuve typique de la rolesploitation.
DragonLance est à l'origine une campagne originale pour AD&D, déclinée en trois romans qui donneront naissance à plusieurs cycles selon le principe éprouvé de l'avant, pendant et après et pendant ce temps, de l'autre côté du monde. Bref du récit commercial au kilomètre sans intérêt. A ne lire que si vous le trouvez en bibliothèque et que vous avez du temps à perdre.
La "formation" de Mord-Sith fait furieusement penser à d'autres choses. Programmes MK ULTRA & MK MONARCH, pour ne citer qu'eux. C'est ce genre de détails qui me donnent à penser que l'auteur a bien fait ses devoirs ou alors qu'il en sait long sur le sujet...
Tome particulièrement décevant.
On y découvre les "héros" niais et sans envergure, bref de quoi crier à la publicité mensongère après le deuxième volume. De plus il y apparaît clairement que l'auteur de n'est jamais remis de l'effondrement du Bloc Soviétique, l'Empire de l'Ancien Monde n'étant là que pour justifier la présence de celui de Richard Cypher. Passons sur les ficelles employées qui ici prennent des allures de haubans propres à maintenir le Titanic ou le Bismark -ne soyons pas sectaires - en cale sèche et nous obtenons par la magie de l'écriture un assemblage plus ou moins heureux de signes dactylographiés sensés transporter le lecteur. Raté.
Et encore, je n'évoque pas Houellebecq...
Un tome de transition, j'espère.
Je serai plus mitigé concernant ce tome;
Indépendamment des trouvailles de l'auteur, les poncifs les plus éculés de la fantasy américaine pointent le bout de leur nez. Et ça fatigue. Limite ça énerve. A mon sens deux personnages valent qu'on s'y intéressent réellement et méritaient d'être les personnages centraux de cette histoire. Chase et Zedd. Richard et Kahlan ne devant - à mon sens - servir que de toile de fond aux précédents. Hélas, l'auteur a choisit un autre postulat.
Ceci dit, il y a quelques morceaux de bravoure et Goodkind sait manifestement de quoi il parle -il a bien fait ses devoirs -lorsqu'il aborde le problème de la torture.
Ne boudons pas notre plaisir, c'est toujours mieux que du Eddings - pas difficile.
A lire sur le sujet, pour les anglophones "Arthur and the Anglo-Saxons wars" chez Osprey.
Chez le même éditeur, tout ce qui concerne la fin de l'Empire romain en Grande-Bretagne.
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