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Shrapnel… tout un programme. Qui fait froid dans le dos.
Les puristes me corrigeront, mais il doit sagir des fragments contenus dans les obus permettant de déchiqueter plutôt que de tuer afin de faire le maximum de dégâts lors d’affrontements comme en en 39/45.
Shrapnel est avant tout un comics américain écrit notamment par Nick Sagan : fils d’un célèbre scientifique, auteur d’une trilogie de science fiction, et encensé par John Scalzi auteur du Vieil Homme et la Guerre.
Edité par Radical publishing, le pendant américain de Milady Graphics qui a déjà adapté « No Hero » bien connu des arpenteurs du site fantasy.fr pour la pub constante qui en est faite ;
Le Pitch :Les humains sont ce qu’ils sont et ne peuvent échapper à leur destin car dans un contexte chacun se révèle…
Ce recueil est absolument délicieux car on y trouve une qualité graphique absolument irréprochable de bout en bout. Alors que souvent on se retrouve avec juste une belle couverture et du gribouilli à l’intérieur. Ici les ambiances, les couleurs sont précises, soignées, appréciables.
Les scénaristes présentent l’histoire comme issue de la tradition des grandes tragédies grecques traitées à la sauce warhammer 40000, mitonnée de Starship Trooper.
Les points noirs : La confusion !
Au départ il est très difficile de s’y retrouver ! bien que certains dessins soient des pièces magnifiques, d’autres comme certains visages peuvent être très difficiles à appréhender.
Dans l’action, on se demande parfois dans quel sens il faut tourner les pages et qui est qui.
Les éclairages. Parfois très sombre on a l’impression qu’ils ont abusé du contraste !
L’édition : Suis absolument dé-gou-té … cric crac caractéristique à la première ouverture, et la c’est le drame : les feuillets se séparent, la couverture se décolle…bref du grand n’importe quoi !
Dommage car cela entache réellement le plaisir de lecture
On attend avec impatience la suite pour janvier…
Dernière modification par tkl (14-09-2010 11:38:43)
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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Les illustrations sont sublimes de mon humble avis
Et si j'ai toujours un peu de mal avec la science-fiction portée à l'écrit (manque de Nature, problème dans l'imagination des espaces et lieux où se déroule l'action,...), j'ai un gros faible sur les BD de ce genre (car justement, on a une représentation précise par l'image).
Par contre, peut-être est-ce juste du fait des planches que tu as mises, mais j'ai l'impression qu'il n'y a pas beaucoup de texte au profit de grandes planches de dessins.
Et enfin, est-ce que tu trouves que la trame de l'histoire en elle-même est bien développée et appronfondie ?
Oui, j'essaye de me remettre petit-à-petit à la BD
Les montagnes ne vivent que de l'amour des hommes. Là où les habitations, puis les arbres, puis l'herbe s'épuisent, naît le royaume stérile, sauvage, minéral ; cependant, dans sa pauvreté extrême, dans sa nudité totale, il dispense une richesse qui n'a pas de prix : le bonheur que l'on découvre dans les yeux de ceux qui le fréquentent - Gaston Rébuffat
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Terminé hier, donc verdict : intense moment d'aventure
Les points négatifs :
Cette fichue reliure qui se délite, c’est un massacre !
Le graphisme tant soigné au bout d’un moment fait mal aux yeux tellement certaines scènes sont assombries.
Les contrastes entre flous et dessin hyper précis tout ca dans une même case demeure perturbant.
Les graphistes ont du geeker comme des malades sur les technologies, les armures mais les visages sont juste beurk et pas soignés ce qui peut perturber le « bon accrochage » à l’histoire.
Les plus !
-L’histoire est complète et ce premier opus est un reccueil de 5 petits épisodes.
-Les images ! Les scènes, grandioses ! dépassé l’inconfort des points négatifs exprimés précédemment on peut être embarqué dans l’aventure avec l’enthousiasme d’immersion que procure justement cette atmosphère rendue par le graphisme général d’arrière plan d’une précision presque photographique et des détails de proximité encore presque au pinceau.
L’histoire :
Sam, ancien soldat d’élite marines s’est reconvertie en simple citoyen de Vénus, dernier endroit de la galaxie ou les Helots (humains non génétiquement modifiés) peuvent encore avoir une vie et un statut social. Le passé prenant la forme de l’expansionnisme dictatorial humain va la rattraper.
Bon je ne veut pas décevoir les auteurs qui pensent vouloir se faire les chantres de l’Illiade mais on as ici une synthèse scénaristique de John Rambo, Agence tout risque et d’Océan11 ... ce qui colle très bien à l'objectif soit dit en passant.
Bien construite une foi le début entamé on dévore la suite.
Et puis le principe d’une nénette qui « botte les fesses » comme ils disent aux States est toujours plaisant.
Ces aventures pourraient être une très bonne idée d’adaptation pour Milady Graphics.
Encore une fois pour ceux qui peuvent être rebutés par la SF, suivez les conseils de tonton Payns : Le Vieil Homme et la Guerre de John Scalzi représente une très belle porte d’entrée, accessible à tous et même à ceux en manque de taillis feuillus, j’en suis la preuve.
Scalzi répète à l’envie qu’il s’est inspiré de l’un des scénaristes de Schrapnel : Nick Sagan pour sa propre histoire
Dernière modification par tkl (15-09-2010 12:06:02)
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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Reçu Hubris, le deuxième tome.
Les "dessins" toujours aussi soignés sont plus constants ce qui rend l'ensemble beaucoup plus agréable.
Le soin du détail est tellement saisissant qu'on est à la limite de la photographie digitale.
Immertion complète pour un sacré rodéo stellaire
Toujours des références homériques, mais qui ne sont là pour moi que pour appuyer d'un sceau mythologique une violence futuriste néamoins très contemporaine
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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Semblerait qu'une certaine Hilary Swank relance l'adaptation cinématographique evoquée initialement.
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