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Je viens de penser à donner mon avis sur le second tome... Il n'est jamais trop tard
Bon alors l'avantage de ce second tome c'est qu'on est directement plongée dans l'histoire dès le début. Et... Hourra! j'ai enfin enregistré les noms et les liens entres les différents protagonistes Donc allons-y rajoutons-en avec plaisir! Ahem, breeeeeef... L'écriture est toujours aussi sublime
Franchement si j'étais bonne en anglais je le lirais bien en vo mais c'est peine perdue pour moi... Et puis pour le coup la richesse de la langue française est peut-être un atout. Pour ce qui est de l'intrigue, elle est exaltante je dirais, à chaque fin de chapitre je me demandais comment Phèdre allait pouvoir démêler tout ces noeuds. ^^ On découvre de nouveaux lieux toujours aussi époustouflants et remarquablement bien décrit à travers les yeux de notre heroïne préférée (j'ai dit préférée ? ça y est je suis atteinte aussi
). Les nouveaux personnages sont pour leur part soit très attachants, soit très antipathique, mais toujours est-il qu'ils ne m'ont pas laissé indifférente! Et je finis avec le meilleur et le pire: la relation entre Phèdre et Joscelin... Que dire ? J'ai pleuré, je l'admet. Ces deux sont décidément trop déchirant, il est impossible de ne pas leur succomber. Et la fin (à 3h30 du mat'), mais pourquoi je n'ai pas le tome suivant, POURQUOI ??? Franchement les derniers chapitres ont été très intenses, j'ai été obligée de me rappeler qu'il fallait respirer
Enfin, vivement septembre pour que je m'achète le dernier et que je laisse tomber tout autre activité, enfin sauf les cours..
"Books! The best weapons in the world!" ~ Tenth Doctor
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Il y a seulement 10 types de personnes dans le monde
ceux qui comprennent le binaire
et ceux qui ne le comprennent pas
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@ Ariane et dans le tome 1 on a aussi tout l'univers avec ses personnages qui nous sont présentés, faisant une intro assez longue.
mais je trouve que chaque livre de Mme Carey commence lentement, mais ce n'est pas ça qui m’empêche d'adorer ces livres
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Bon alors pour le tome 1 c'est clair qu'il est long à débuter
Après pour le tome 2 un peu moins et pour les autres je ne peux pas me prononcer encore ^^
Non mais le livre parfait n'existant pas (selon moi), oui on peut apprécier un livre même avec ses défauts et encore heureux...
Non puis je repasse à l'attaque, l'écriture étant sublime on lui pardonne la longueur du début
"Books! The best weapons in the world!" ~ Tenth Doctor
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Bon je me réveille... J'avais oublié de donner mon avis pour le dernier tome
Que dire...? Il était à la hauteur de toutes mes espérances. J. Carey a réussis (selon moi en tout cas) à faire trois livres qui se valent les uns aux autres avec toujours le même niveau. Cette trilogie se termine en beauté. Alors s'il est vrai que les deux premiers tomes (surtout le premier) sont assez longs à démarrer j'ai trouvé celui-là très rapide, ça m'a limite prise de court
Par contre j'ai trouvé ce tome très sombre par rapport aux deux premiers.
J. Carey a su me tenir en haleine du début à la fin, c'était presque une souffrance de m'arrêter de lire. Phèdre restera sans aucun doute l'une des héroïnes qui m'a le plus marqué par ses émotions qui la rendent réelle et pertinente. Je suis particulièrement contente du fait que la première personne soit pour une fois utilisée dans toute sa splendeur sans zapper les descriptions et les autres personnages ce qui arrive malheureusement trop souvent.
J'ai hâte de lire Imriel et de voir si la suite est la hauteur de mes espérances
"Books! The best weapons in the world!" ~ Tenth Doctor
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Ah! Cela fait plaisir à lire ce genre de commentaire. Je partage tout à fait ton point de vue sur le tome 3. Il est magnifique et au niveau émotionnel, très dur à supporter (j'ai moi-même pleuré un nombre incalculable de fois et ce, à chaque tome...)
Aime comme tu l'entends.
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J'ai pleuré pour les autres aussi à vrai dire... Mais encore plus pour celui-ci
Donc au final la trilogie entre dans mes livres coups de coeur
"Books! The best weapons in the world!" ~ Tenth Doctor
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Après plusieurs années à faire de la résistance, j'ai finalement plongé dans l'univers de Jacqueline Carey au cours de ces vacances, de sorte à rendre hommage à la lecture au feu de camp. Je dois dire qu'une certaine réticence initiale m'habitait, tant des points de vue divers et variés m'avaient été offert à propos de cette série. Pourtant, au final, les 3 tomes se sont enchaînés tambour battant, et je n'ai pas boudé mon plaisir tout au long de cette lecture !
Globalement et comme déjà avancé précédemment, les 3 ouvrages se valent en qualité. L'écriture de Carey sonne juste et s'avère forte agréable. Je crois pouvoir lui reprocher quelques manques de précision et la tendance à s'enhardir plus que nécessaire lors des sections plus riches en événements, mais rien de désagréable. Son style s'épanouit véritablement lorsqu'elle parvient à poser son récit et construire son intrigue au fil d'interactions tissées entre différents personnages tous passionnants. Et si certains ont trouvé là matière à quelques longueurs, je crois que pour ma part, ce sont les instants que j'ai le plus apprécié. Peut-être qu'en évoluant dans mes lectures, je prends davantage goût à ce que l'on pourrait se référer comme des "intrigues de cour" ? Quoi qu'il en soit, il est véritablement plaisant de voir l'ensemble des bouts du puzzle se reconstituer peu à peu.
Les réflexions apportées autour de l'acte d'aimer et de sa perception en fonction des différentes cultures, sont à mon sens un des aspects forts de ce cycle. A cet égard, le 1er tome restera sans doute mon favori, explorant avec justesse les rouages complexes de la mécanique du cœur. La relation Phèdre-Mélisandre se révèle de ce point de vue passionnante, et le personnage de cette dernière n'a de cesse de me fasciner. Je lui ai trouvé une profondeur et une complexité inattendues et salvatrices, venant rehausser l'intrigue tel l'indispensable assaisonnement d'un plat.
Au final donc, une lecture sans déception pour un cycle qui mérite sans conteste les louanges qu'on lui attribue.
Les montagnes ne vivent que de l'amour des hommes. Là où les habitations, puis les arbres, puis l'herbe s'épuisent, naît le royaume stérile, sauvage, minéral ; cependant, dans sa pauvreté extrême, dans sa nudité totale, il dispense une richesse qui n'a pas de prix : le bonheur que l'on découvre dans les yeux de ceux qui le fréquentent - Gaston Rébuffat
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