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Mais attention ! Je répète,
mais tu as le droit de défendre ton avis
Tu ne risques rien, sache que tu es entouré de gens bien et raisonnables ici
Sinon, la fin est effectivement une belle récompense.
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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Je n'aurai que deux questions supplémentaires
-D'où vient le "ton" si particulier de Don Buenvenuto, comment l'idée de ce personnage lui est-elle venue?
-Les deux premières œuvres qu'il a écrit ont reçu un bon accueil de la part des critiques, comment gère-t-il les nouvelles attentes qui pèse sur lui?
Pour ma part, j’attends avec impatience la fin aout
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Question subsidiaire N°1:
-Pouvez-vous me dédicacer ces livres?
Question subsidiaire N°2:
-Voulez vous m'épouser
Je valide
Pour ce qui est de l'écriture, vue l'étendue des recherches effectuées pour le "monde" en lui-même, j'imagine plus volontiers une narration toute aussi pensée et calculée, plutôt que l'expression fiévreuse des diktats d'une muse inspiratrice...
Moi je n'ai pas de question... lettre d'admiration, d'adoration ou d'idolâtrie, pourquoi pas... mais aucune question ^^
Mais c'est gentil de nous proposer, et je vous envie pour l'opportunité...!
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Ça fait un sacré paquet de questions !
Vous pensez bien qu'entre les nôtres et les vôtres va falloir faire du tris. Je vous tiens au jus.
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Voila, j'ai tourné à regret la dernière page de Gagner la Guerre. J'ai taché de faire durer le plaisir, l'extase même, autant que possible mais le plus beau des voyages à toujours une fin
Cette pépite signée Jaworski (son Nom soit sanctifié) rejoint dans ma tête une petite salle bien spéciale qu'elle devra partager avec la Horde du Contrevent d'Alain Damasio. La Salle des Deux Meilleurs "One Book" Lus Jusqu'à Présent.
Plus sérieusement, c'est vraiment un roman fantastique, dans tous les sens du terme et encore plus au niveau de l'écriture, du vocabulaire employé et surtout du ton de la narration. Combien de fois je me suis marré tout seul (tout en admirant les ressources littéraires de l'auteur, un véritable escrimeur du verbe) devant une ironie assassine et un cynisme à vous renvoyer Greg' House jouer aux billes.
Ce Jaworski est un vrai virtuose de notre belle langue de Molière et j'éprouve une petite fierté patriote totalement hypocrite et injustifiée à partager sa langue
Je rejoins parfaitement Gordien: pour moi le seul défaut du livre ce sont les 100pages qui suivent l'arrivée de notre Serviteur à Ciudalia, un peu trop longues.
Le reste est un mélange savamment dosé entre prendre son temps, nous régaler d'une prose millimétrée saupoudrée de la gouaille fantasque d'un Benvenuto encore plus grande gueule que moi et nous câliner dans le sens du poil avec des rebondissements à n'en plus finir mais qui ont une fâcheuse tendance à toujours tomber justes, frapper là où ça fait mal; ce que l'on demande encore et encore en fait
Dernière modification par Mickuss (22-07-2013 23:19:37)
“A reader lives a thousand lives before he dies. The man who never reads lives only one.” G.R.R. Martin
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l'extase même,
J'attendais avec impatience ton avis, et tu me vois soulagé
La Salle des Deux Meilleurs "One Book" Lus Jusqu'à Présent
Je suis tout a fait raccord, il le vaut bien
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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Très heureuse que ça t'ait plu et tu m'as fait rire avec ta comparaison à Greg House
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Je me rendrais Samedi prochain (21/09) à la rencontre/soirée dédicaces avec Jean-Philippe Jaworski organisée à Lyon par la libraire L'Esprit Livre afin d'obtenir sa petite griffe sur mes propres exemplaires
Si jamais d'autres ici pensent faire le déplacement, peut-être que l'on s'y croisera !
Les montagnes ne vivent que de l'amour des hommes. Là où les habitations, puis les arbres, puis l'herbe s'épuisent, naît le royaume stérile, sauvage, minéral ; cependant, dans sa pauvreté extrême, dans sa nudité totale, il dispense une richesse qui n'a pas de prix : le bonheur que l'on découvre dans les yeux de ceux qui le fréquentent - Gaston Rébuffat
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Aaaah je suis trop jalouse ! Malheureusement ça me semble pas possible de faire le déplacement...
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Han c'te chance Rikka !!
Je n'aurais pas prété mon livre à quelqu'un, je crois bien que je te l'aurais envoyé pour qu'il finisse griffoné aussi
En tout cas c'est une super occasion pour toi de voir un auteur si talentueux en vrai de vrai !
“A reader lives a thousand lives before he dies. The man who never reads lives only one.” G.R.R. Martin
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Ben j'en profite pour faire passer le message, mais s'il y a ici des membres qui ne peuvent pas faire le déplacement, mais aimeraient bien une dédicace de l'auteur, il y a toujours moyen de s'arranger !
Me faire parvenir vos bouquins par la poste par exemple, ou si ce n'est pas possible, je veux bien faire l'avance le jour J pour l'achat d'un autre ouvrage de l'auteur. Bref, je suis dispo pour trouver un solution, donc n'hésitez pas à demander
Les montagnes ne vivent que de l'amour des hommes. Là où les habitations, puis les arbres, puis l'herbe s'épuisent, naît le royaume stérile, sauvage, minéral ; cependant, dans sa pauvreté extrême, dans sa nudité totale, il dispense une richesse qui n'a pas de prix : le bonheur que l'on découvre dans les yeux de ceux qui le fréquentent - Gaston Rébuffat
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Hey Rikka, j'y serais aussi pour un interview privé avec JPJ, pour mon WebZine.
Faut qu'on arrive à se croiser ça serait cool !
Dernière modification par Zorander69 (14-09-2013 19:23:34)
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Hey, super ça !! On se tient au courant pour arriver à se repérer dans la foule le jour J (au pire, je découperai savamment quelques oreilles pour me frayer un passage
)
Les montagnes ne vivent que de l'amour des hommes. Là où les habitations, puis les arbres, puis l'herbe s'épuisent, naît le royaume stérile, sauvage, minéral ; cependant, dans sa pauvreté extrême, dans sa nudité totale, il dispense une richesse qui n'a pas de prix : le bonheur que l'on découvre dans les yeux de ceux qui le fréquentent - Gaston Rébuffat
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Je viens tout juste de terminer la nouvelle Mauvaise Donne du Recueil Janua Vera.
Quel plaisir de (re)découvrir Benvenuto !
Je crois même que le plaisir est plus grand dans cette 2eme rencontre anti chronologique (comprendre: plutot que d'avoir lu Mauvaise Donne puis Gagner la Guerre)
Plutôt qu'un sentiment de simple suite avec des personnages connus, on a ici l'impression qu'un vieil ami vous raconte une anecdote, un souvenir forcement devenu bon avec le temps; et qui s'avere etre un excellent prologue à la fabuleuse histoire qu'on vient de refermer !
Je vouais déjà un petit culte à Jaworski mais là ça risque de friser à la passion ! D'autant plus que je n'ai lu que 2 Nouvelles du recueil !
“A reader lives a thousand lives before he dies. The man who never reads lives only one.” G.R.R. Martin
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rencontre anti chronologique
Oui, on à quelqu'un qui nous raconte après ce qu'il c'est passé avant avec le bagage du pendant .
C'est franchement bon d'assister au premier "contact" avec les Ducatores Sans parler de l'introduction/conclusion qui est une sacrée mise en abîme de ce que peut être le rôle de l'écrivain face au lecteur.
Je serais curieux d'avoir ton avis sur les autres nouvelles, n'hésite pas à partager
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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Les nouvelles de Janua Vera:
Janua Vera: introduction "psychique" à la fondation d'un monde et qui prouve encore une fois que tenter d'éviter la réalisition d'une prophétie ou d'une rêve (prémonitoire) n'est que le meilleur moyen de voir la chose se produire.
Mauvaise Donne: Clairement la meilleure du lot, pour les raisons citées 1 message plus haut ! Du grand Benvenuto !!
Le service des dames: Petite historiette sympatique qui prend place dans l'univers étendu du Vieux Royaume. Ah, que ne ferait-on pas pour l'honneur et pour ses dames ?
Une offrande très précieuse: la nouvelle fantastique par définition (fantastique dans le sens littéraire du terme, du Maupassant quoi, on ne sait pas vraiment où se situe la frontière entre réel et imaginaire, réel et magie) Une quête psychologique mettant en oeuvre la magie de ce monde.
Le conte de Suzelle: Une nouvelle assez triste mais on sourit forcément un peu à la fin qui nous montre la candeur des Elfes face au temps qui passe (ou plutôt qui ne passe pas sur eux) et à ses effets sur le monde qui les entoure, sur notre petite Suzelle ici.
Jour de Guigne: Je me suis bien amusé devant l'extravagance de cette nouvelle
Un amour dévorant: Ça pour le coup, c'est flippant !!! Et l'avoir lue à 2h du matin n'a rien arrangé !!
Vraiment sympa et bien construite comme nouvelle mais assez stressante !
Le confident: La plus courte des nouvelles mais aussi la plus longue à lire... Pas trop emballé personnellement, si ce n'est la fin qui nous "éclaire" un peu sur la nature des confidences et qui rattrape le tout.
“A reader lives a thousand lives before he dies. The man who never reads lives only one.” G.R.R. Martin
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j'ai fini Gagner la Guerre depuis 2 semaines et je viens de me rendre compte que je n'ai toujours pas donner mon avis.
donc pendant que j'y suis, autant le faire.
tout d'abord, JP Jaworski a un talent considérable pour l'écriture.
que ce soit pour les mots en eux même ou pour la tournure des phrases, c'est un plaisir pour les yeux de parcourir ce livre du début à la fin.
les personnages -que ce soit Don Benvenuto (oeuf corse), Leonide Ducatore, le Macromuopo, la donna Clarissima ainsi que les autres- sont tous autant soignés les uns que les autres.
le seul petit bémol que j'ai trouvé dans cette oeuvre vient du fait que l'histoire alterne entre des moment d'une intensité assez phénoménale avec des moments aussi prenant qu'une course d'escargot.
ça permet certes de se reposer après ce que vient de subir Benvenuto, généralement, mais j'aurais préféré qu'il n'y ai pas une si grande différence d'intensité.
Il y a seulement 10 types de personnes dans le monde
ceux qui comprennent le binaire
et ceux qui ne le comprennent pas
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Pour les points négatifs, malgré mon respect sans borne pour l'auteur
, je comprends ce que tu veux dire fuer. Personnellement ça m'agace un peu quand l'action est au contraire, trop bien répartie : comme dans le tome 1 de l'Epée de Vérité où passé un certain cap, on arrive vraiment dans une série de péripéties avec un enchaînement typique créé pour que le lecteur soit toujours tenu en haleine... Je trouve qu'une répartition plus hétérogène avec des moments d'action rapide et des passages (ok, de LONGS passage
) plus lents, donne une histoire plus réaliste au final. Voilà, ça c'était pour défendre Jaworski... Mais je reconnais qu'il pousse vraiment les choses à l'extrême !
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J'ai achevé il y a quelques jours Gagner la Guerre, dans lequel je m'étais lancé après en avoir lu et entendu énormément de bien, tant ici sur le forum qu'ailleurs. C'est donc avec de hautes attentes que je débutais ma lecture... Celles-ci n'ont pas été déçues, loin s'en faut! C'est avec délectation que j'ai dévoré ce roman de la première à la dernière ligne, savourant jusqu'à la page de remerciements l'écriture de l'auteur.
La plume virtuose de Jaworski au service de la forte personalité d'un héros tout ce qu'il y a de plus anti-héroïque forment un cocktail d'une saveur si terrible qu'on ne voit pas passer les plus de 900 pages de ce chef d'oeuvre, et qu'on se retrouve à fermer le livre, un sourire ironique au lèvres, déçu d'en avoir déjà fini et avec pour seule envie de replonger à la suite de Benvenuto!
Les personnages m'ont séduit par leur profondeur et j'ai savouré le talent de l'auteur à se jouer du lecteur en les présentant sous un angle différent selon ses envies, tout en nuances de gris et inspirant tour à tour sympathie et défiance.
Quant aux longueurs que vous mentionez, je ne peux les nier, mais elles me semblent faire partie intégrante du tout. Les périodes de calme relatif m'ont en effet gardé accroché tout autant que les séries de péripéties, permettant à mon cerveau lent de prendre la mesure de tous les rouages de l'histoire et d'apprécier encore un peu plus la qualité de l'écriture avant de me jeter à nouveau dans le tourbillon des aventures de Don Benvenuto. De plus je te rejoins, Ariane, lorsque tu dis que cela rend l'histoire plus réaliste.
Enfin, vous l'aurez compris, je n'ai que du positif à retenir de cette lecture qui m'apparait d'ores et déjà incontournable! Juana Vera a d'ailleurs rejoint ma bibliothèque, et Même pas Mort y trouvera sa place très prochainement également.
J'espère qu'en comparaison mes prochaines lectures ne me paraîtront pas trop fades!
Dernière modification par Messire Rowan (04-11-2013 21:07:16)
" Don't get strung out by the way I look, Don't judge a book by its cover... "
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J'espère qu'en comparaison mes prochaines lectures ne me paraîtront pas trop fades!
J'avoue pour ma part avoir eu un peu de mal à "m'en remettre", et il m'a fallu quelque temps et quelque livres pour "relocaliser" mes attentes.
Le seul "fix" possible viendra de Mauvaise Donne de Juana Vera, tout le reste étant quasiment alien à l'expérience de lecture de GLG.
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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Enfin, vous l'aurez compris, je n'ai que du positif à retenir de cette lecture
Pour nuancer si faiblement que ce soit l'enthousiasme débordant de Messire Rowan et moi (et surtout pour le plaisir de te contredire ) on pourrait quand même parler du minime défaut sur lequel on était tous les deux d'accord en en rediscutant :
Très heureuse que ça t'ait plu en tout cas
Et moi je me ferai bientôt mon "fix" comme dit tkl
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Ah effectivement, Ariane, le point que tu soulève s'était noyé dans la masse titanesque de mon admiration!
Quand à Juana Vera, merci tkl pour la suggestion de Mauvaise Donne, mais je pense en fait attendre un peu pour le lire, histoire de me faire une petite piqûre de rappel à distance, en attendant j'ai commencé Le Soldat Chamane et n'ai pour le moment pas trop de mal à accrocher...
" Don't get strung out by the way I look, Don't judge a book by its cover... "
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Par manque cruel de temps pour m'attaquer à un vrai bon tome de Fantasy, je me suis donc rabattue sur les petites nouvelles Jaworskienne présentes dans Juana Vera, et encore une fois, quel délice !
Pouvant être lues séparément, l'ensemble de ces petites historiettes forment néanmoins un tout, brossant un tableau bigarré du monde ici créé par l'auteur. La succession des points de vue dans le temps, l'espace mais aussi les différentes couches sociales s'avèrent un pari gagnant. Il en devient alors absolument fascinant de comprendre l’enchaînement de ces différents points de vue. Le véritable challenge est alors de parvenir, à partir des fragments de vie d'individus noyés dans la masse, à reconstruire une trame historique où s’enchaînent rebondissements, trahisons, coups d'éclat et manigances politiques. Jaworski nous offre ainsi un véritable kaléidoscope, porté par une écriture toujours aussi tranchante !
Je crois que ce qui m'a le plus séduite, c'est bel et bien ce formant novelettes choisi et finement exploité par l'auteur qui parvient, en rassemblant ainsi quelques fragments de vie d'individus pris au hasard, à nous dépeindre une véritable fresque. Le lecteur se sent alors l'âme d'un historien, cherchant à recoller entre eux tous ces indices savamment disséminés pour reconstituer une trame globale venant porter ces récits isolés.
Un véritable délice que l'on essaye tant bien que mal de faire durer
Les montagnes ne vivent que de l'amour des hommes. Là où les habitations, puis les arbres, puis l'herbe s'épuisent, naît le royaume stérile, sauvage, minéral ; cependant, dans sa pauvreté extrême, dans sa nudité totale, il dispense une richesse qui n'a pas de prix : le bonheur que l'on découvre dans les yeux de ceux qui le fréquentent - Gaston Rébuffat
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Je n'aimai pas du tout la couverture du livre, mais en découvrant l'illustrateur Hervé LEBLAN je suis tombé sur l'image originale: un vrai plaisir.
Sujet dédié à l'illustrateur Hervé Leblan
They say man can't fly but wings of mind set you free from mankind
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J'ai enfin trouvé un peu de temps pour revenir vers Jaworski avec Juana Vera :
Comme Rikka j'ai adoré le format nouvelles, et la variété des points de vue (c'est surtout les variétés sociales qui m'ont plu) qui néanmoins se font réponse. Qui plus est c'est un réel plaisir de retrouver le style de cet auteur ! Même si Gagner la Guerre, de ce point de vue, m'avait laissé une impression encore plus percutante.
Je pense que mes deux nouvelles préférées ont été "Mauvaise donne" et "Le confident" (la fin est tellement bien réalisée ). "Mauvaise donne" se passe de commentaires
c'était un plaisir de retrouver Benvenuto ! La découverte d'un Cecht mieux travaillé, au premier plan cette fois-ci fut un délice pour moi et en conséquence "Une offrande très précieuse" m'a bien plu aussi. Le tout m'a vraiment donné envie de relire Gagner la Guerre... dès que possible. Il y a une nouvelle qui m'a laissée perplexe, c'est la toute première. J'ai même l'impression que qqch m'a échappé... Ou alors c'est une fin trop ouverte à mon goût. Et puis j'aimais énormément toute la narration de cette nouvelle (qui aurait pu être ma préférée), aussi je nourrissais peut-être trop d'attentes pour sa chute ! Quant aux autres, parfois la fin ne me comblait pas tout à fait non plus (mais je n'ai pas l'habitude du format nouvelles), parfois un peu trop prévisible, parfois avec ce goût de "pas assez" ; mais il y avait toujours une atmosphère, des personnages (je pense aussi à l'elfe ; j'adore les elfes chez Jaworski !), une écriture, quelque chose pour m'absorber et me séduire.
Je crois me souvenir que tkl conseillait de lire ces nouvelles de manière éparpillée ; pour ma part ça ne m'a pas dérangée de tout lire d'un coup, au contraire ; les histoires se répondent et contribuent à dessiner la même toile. Un seul regret : qu'il n'y en ait pas eu davantage !
Dernière modification par Ariane (29-03-2014 10:17:40)
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